94 % fait-maison

La cuisine « fait-maison » comme source de plaisir et d’épanouissement.

94 % des Français considèrent la cuisine « fait-maison » comme source de plaisir et d’épanouissement révèle une étude TNS Sofres 2010 et 97 % font ou ont dans leur foyer quelqu’un qui pratique la cuisine « fait-maison ». Qui dit cuisine « fait-maison », dit également bricolage, décoration, culture des fruits et légumes et herbes aromatiques dans le jardin comme sur le balcon pour 83 % d’entre nous… Comme qui dirait que l’on aime mettre la main à la pâte en France et pour cause 74 % d’entre nous veulent maîtriser leur alimentation ainsi que la qualité des produits consommés. Exit les plats préparés bourrés de conservateurs, trop riches en sel ou en sucre et pas fameux. Cuisiner re-devient pour 94 %, de femmes et d’hommes un loisir, une source de plaisir, 7 % ayant déjà suivis des cours de cuisine et 51 % s’y intéressant. Cela explique l’engouement tant pour les livres de cuisine que pour les émissions culinaires TV et radio qui avec leurs chefs finissent par détrôner les Star’Ac, Loft et compagnie… pour notre plus grand plaisir ! Terminée l’image de la cuisine ringarde et dévalorisante pour qui la faisait. Pour 23 % et notamment les mins de 35 ans, la cuisine « fait-maison » est une forme de valorisation de soi, et par les temps qui courent c’est la solution idéale pour préserver son pouvoir d’achat et développer la convivialité, tant entre amis que l’on reçoit qu’en famille lors de la préparation.
Alors, nous autres Français aimons préparer les plats cuisinés-de résistance à 85 %, les soupes et purées à 76 %, les pâtisseries et gâteaux qui n’arrivent qu’en 3e position avec 65 %, suivies des entrées, terrines et quiches à 58 %. Et en bon Français, on est de plus en plus nombreux à faire notre pain (60 %).
Au cœur de cette pratique, les produits de préparation culinaire séduisent de plus en plus les consommateurs par leur performance, leur fonctionnalité et

Exit l’image de la cuisine ringarde pour les moins de 35 ans, « faite-maison », c’est une forme de valorisation de soi.

leur look design. Les adeptes du fait-maison possédant en moyenne 5,4 appareils, plutôt petit dont le prix moyen d’achat est de l’ordre de 58 €. Ainsi 75% des personnes interrogées disent posséder un batteur, 71% un mixeur plongeant et 64% un robot multifonction. Ils sont suivis de près par le cuiseur vapeur (57%), la friteuse (52%), le presse-agrumes (50%) et figurent loin devant la yaourtière (13%) ou la sorbetière (10%).
Les ventes d’appareils ne cessent de progresser, +27% en 2010, soit +4% pour les robots batteurs, +2% pour les mixeurs, +14% pour les blenders, +69% pour les hachoirs, ou encore +11% pour les presse-agrumes et +3% pour les friteuses.
Et de plus en plus pièce centrale de la maison, LIRE l’article Quel style de cuisine pour moi ? L’innovation et la performance de ces appareils s’associe à un design contemporain, qui constituent par ailleurs un puissant facteur de séduction. Dotés d’une forte valeur statutaire, ces appareils s’exposent avec plaisir dans les cuisines, on ne range plus les « kitchen machines » au contraire on les expose et la cuisine tourne désormais autour d’eux.
Alors, tendance de fond réelle et durable ou simple effet de mode ? Non, révèle l’enquête ! 89% des individus interrogés estiment que la cuisine « fait-maison » correspond à une tendance de fond qui va s’amplifier et continuer à faire de nouveaux adeptes. Et les ventes en France exprimées en chiffre d'affaires au cours du mois d'août 2010, sont en nette progression de +7 % par rapport à celles du mois d'août 2009, les 8 premiers mois 2010 enregistrant une croissance du chiffre d'affaires de +2,5%.
Face à cet avenir prometteur, les marques du petit-électroménager continueront d’accompagner les consommateurs dans cette pratique en leur proposant des produits innovants, fonctionnels et éminemment design !

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Source : Le Gifam (Groupement Interprofessionnel des Fabricants d’Appareils d’équipement Ménager), étude TNS Sofres 2010.