Survoltée, surmenée ?

Avant d’en avoir plein le dos, je prends mon stress en main.

Le stress surgit à tout moment de la vie (boulot, enfant, maladie, chômage, divorce) se révélant souvent par des tensions musculaires venant s'accrocher à la colonne vertébrale et aux articulations. Les ignorer peut déclencher des réactions psychosomatiques. Plutôt que de sombrer dans la consommation d'anxiolytiques, d'alcool ou de tabac, mieux vaut me tourner vers des pratiques douces et naturelles, qui soignent en profondeur évitant les récidives.
7 méthodes anti-stress
Musicothérapie. Je me relâche 3 minutes en écoutant les bruits de la nature ou une musique douce, qui agit tel un bain sonore régénérateur.
Aromathérapie. Je respirer des huiles essentielles qui agissent sur le système limbique du cerveau, siège des sentiments et de la mémoire, tout en réchauffant, voire soignant ma peau, additionnées à un bain.
Respiration abdominale. J’oxygène mon ventre ballonné, voire constipé, car stressé je ne respire qu’à moitié. J’inspire et j’expire profondément par la cage thoracique, puis par le ventre 2 fois par jour.
Automassage facial. J’effectue de petites pressions-rotations des doigts sur les mâchoires, sourcils et tempes, le nez, le front et le sommet du crâne pour stimuler les nerfs crâniens du premier cerveau en relation directe avec le nerf vague qui harmonise le ventre.
Malaxothérapie. Je malaxe une balle ou deux boules rigides quand je me sens crispée. Ça détend les articulations des doigts et active le huitième point d'acupuncture situé à l'intersection des lignes de la main.
Gymnastiques zen. Je pratique le yoga ou le taï chi chuan chaque semaine, tant pour me détendre que pour réharmoniser mes énergies par un travail du corps et du souffle lié au mental.
Sports défoulants. Rien de tel que de courir pour éliminer les toxines, me détendre par la respiration intense qui fait évacuer le stress et sécréter des endorphines, substances similaires à la morphine fabriquées par le cerveau. Idéale également, la piscine  pour noyer stress et contrariétés. Et si j’ai la hargne, je peux toujours me mettre à boxer.
De quoi retrouver le moral.