Balade en kayak de mer

Oui mais un kayak qui se plie à toutes mes envie d’échappées belles…

Merveilleux le kayak pour s’échapper de la plage noire de monde et accéder à des criques en longeant la côte, car je ne m’éloigne pas à plus de 3,7 kilomètres du rivage, au-delà la navigation est soumise à certaines conditions, et je ne suis plus en sécurité. Je peux emmener mes enfants dès l’âge de 8 ans, à condition qu’ils sachent nager et s’immerger, équipés –tout comme moi- d’une brassière et d’une tenue solaire aquatique.
Anti-stress
Discret, le kayak file à ras de l’eau à la seule force de la pagaie que j’actionne vivement,  non seulement pour avancer mais aussi pour me refaire une santé du dos, des abdominaux béton, des bras raffermis et une poitrine qui tient toute seule, à condition de me tenir droite. Ramer, ça détend aussi les épaules et le cou rivés toute l’année sur l’ordinateur. Et puis, respirer l’iode, regarder l’horizon à perte de vue (ça change des immeubles) et le bleu de l’azur qui se fond dans la mer, ça rebooste les neurones. Ça déstresse…
Anti-tracas
Malin, le kayak 2 places non plus rigide difficile à trimbaler en vacances, Yakkair se gonfle (la pompe puissante à manomètre est fournie avec) et se replie dans un sac à dos (dimensions plié : 72x53x37cm, déplié : 4,10m x 0,96m, 15 kg supportant 250 kg de charge). Gonflé, il n’est pas tout mou, son plancher gonflé haute pression est « rigide » et du coup la carène en V très efficace file sur l’eau et présente peu de prise au vent. Confortable, il est équipé de deux dossiers ceinture et de cale-pieds, et l’eau s’évacue par le double fond nous laissant toujours au sec. Au cas où les rochers seraient trop agressif, il y a un kit de réparation dans le sac à dos (899 € YakkAir Two, BicSport).