L’année des méduses

Gare aux brûlures du soleil et des méduses aussi !

Il y en a de plus en plus sur nos plages, pas qu’aux antipodes, les méduses sont partout et elles sont dangereuses. On estime à 150 millions de vacanciers exposés au risque des méduses, qui avec les vents et les courants se rapprochent de nos cotes de façon aléatoire.

Pourquoi elle me pique moi ?
Les méduses sont passives, elles ne poursuivent pas leur proie, pour l’attraper, elles doivent la paralyser en lui envoyant en une fraction de seconde une toxine paralysante. Elles ne me voient pas, elles me « sentent », leurs cellules venimeuses dotées de récepteurs captent les messages chimiques émis par ma peau qui provoquent alors l’expulsion du dard et pénètre profondément dans la peau injectant le venin.

Aïe, je me suis fait piquer !
Je reste calme et surtout je ne gratte pas pour éviter que les cellules urticantes continuent à agir. Le mieux est de rincer abondamment l’endroit piqué à l’eau de mer, et de recouvrir la peau de sable sec pour piéger les fragments de méduses restés sur la peau, retirer le sable à l’aide d’un carton rigide, d’une carte de crédit ou d’une lame de couteau, rincer à l’eau de mer et appliquer un antiseptique, consulter un médecin. J’ajouterais pour avoir été piquée par une méduse cet hiver à Madagascar, qu’en plus de marcher longuement dans l’eau qui effectue un micro-massage apaisant, j’ai appliqué de l’huile de coco que m’a donné une locale sur la plage qui m’a bien soulagé.

Malin, le petit Nemo !
Vous vous souvenez du petit poisson clown de Disney, il habite dans les anémones urticantes et n’est pas piqué lorsqu’il traverse un banc de méduses, alors que sa copine la dorade subit de gros dommages. C’est l’observation du poisson clown naturellement protégé qui a permis au Laboratoires Bioreance de développer la crème doublement protectrice Médusyl.

Et ça bloque le processus urticant ?
D’une part, la crème  fait barrage entre la méduse et moi. À base de silicone, elle empêche les tentacules d’avoir un contact suffisant avec la peau pour la piquer. Elle contient des glycoaminoglycans imitant ceux perçus par le système de reconnaissance de la méduse qui confond la proie avec elle-même et donc ne pique pas. Par ailleurs, l’extrait de plancton et la glycoprotéine bloquent les récepteurs de la cellule. Et le calcium et le magnésium réduisent la pression osmotique et la force d’éjection nécessaire dans la cellule pour le nématocyste. Bref, je suis la femme invisible pour la méduse.

Ainsi que les U.V. !
D’autre part, la crème protège des rayons du soleil et donc de toute brûlure thermique (en plus de la brûlure chimique de la méduse). Deux indices de protection sont proposés : IP 15, Protection moyenne pour peaux normale et IP 30, haute protection pour peaux sensibles et enfants. Elle est évidemment waterproof, à appliquer toutes les 80 minutes.

19 € en IP15 et 20 € en IP30, Medusyl a été testé cliniquement et homologué par la FDA sous contrôle d’experts dermatologues. Distribuées en pharmacie et parapharmacie.