Pas n’importe quelles fleurs

7 conseils pour ne pas s’intoxiquer. Raisonnable.

Évidemment, je ne mange pas n’importe quelle fleur. Ce n’est pas parce que je trouve une fleur jolie ou qu’elle sent bon, qu’elle est comestible.

1. Certaines hyper toxiques peuvent causer la mort ! Alors si je n’ai pas ma bible des plantes comestibles sous la main, je m’abstiens. Je vous recommande deux ouvrages :
« Dégustez les plantes sauvages », par François Couplan, des promenades en pleine nature avec le chef Marc Veyrat qui livre ses recettes gastronomiques, Éditions Sang de la Terre.
« Cueillette et cuisine sauvage », par Michel Luchesi, un carnet de terrain ludique pour s’initier dès l’enfance, Édition Milan Jeunesse.
2. Je prends garde à ne consommer que des fleurs de mon jardin, poussées sans engrais, rien qu’aux produits biologiques, et loin de toute pollution, à l’écart de la rue et du parking.
3. Si je les ai acheté, je m’assure qu’elles ont été identifiées comme bien comestibles, cultivées sans pesticides ni insecticides chimiques.
4. Je les cueille de préférence le matin, par temps sec quand la rosée a séché ou au coucher du soleil, l’idéal juste avant de passer à table.
5. En les cueillant, je fais attention à ce qu’elles ne soient pas habitées par un insectes.
6. Je les rince à l’eau fraîche délicatement. Je ne garde que le bouton ou les pétales de la fleur et ôte la verdure.
7. Pour ne pas me planter, mieux vaut m’inscrire à une randonnée ou un stage de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, d’une semaine cet été, ou sur un week-end.