Ça fait un bail que j’ai touché une raquette ! Remise en forme et équipement ad hoc de rigueur.
Tandis que les Internationaux de Roland-Garros battent leur plein, je reprends du service. Petite mise en jambe obligatoire, je fais des exercices cardio-vasculaires, du style sauter à la corde 5 minutes chaque matin (voir exercice) et un jogging hebdomadaire pour me dérouiller (voir article).
Mieux vaut jouer sur un terrain en terre battue, souple et moins traumatisant pour les muscles, les articulations et le dos. Je commence tranquille pour m’échauffer pendant un quart d'heure et je me limite à 1 h-1 h 30 de match. Après le match, je compense par quinze minutes d'étirements des jambes, des bras et du dos. Et je n’oublie pas de boire de l'eau pour hydrater mes muscles.
Essentiel, l’équipement
> Je me chausse de tennis et non de baskets. Rigides et renforcées latéralement, les chaussures de tennis maintiennent fermement mes pieds. De plus, le dessin de la semelle extérieure me procure une bonne adhérence sur surface dure et tolère mes dérapages -pas toujours contrôlés- sur terre battue.
> Je ne pique pas la raquette de Jules, je m’achète un modèle pour femme qui intègre trois paramètres : un manche plus court pour plus de maniabilité, une construction légère, en général, en graphite et fibre de verre, et un profilé plus mince m’assurant un bon contrôle. J’opte pour un tamis moyen (Mid Plus), si je recherche puissance et confort, ou pour un tamis surdimensionné (Oversize), si j’ai besoin de plus de tolérance et d’un maximum de confort.
> Le cordage est l’élément moteur de la raquette. Très tendu, il apporte moins de vitesse, mais plus de contrôle de balle, et inversement. De même, les balles rigides sont plus rapides et vont plus loin que les souples, qui me permettent de voir venir et de réfléchir à la stratégie à adopter. Ah ça change tout !
À nous deux, copine, je me sens en forme pour gagner.
En savoir plus : Fédération Française de Tennis